Orient Samuraï Quest, le nouveau shonen de Shinobu Ohtaka, adapt boy cours en développant peu à peu ses personnages et son univers dense.
Musashi et Kojirô rêvent de devenir samurais dans un japon féodal summation qu’hostile à leur égard. Pour cause, des manipulations politiques de grande ampleur ont instauré un culte aux onis, des démons maléfiques. Les samurais dont l’activité principale consiste à les chasser sont alors perçus comme des parias. gold terme d’un volume i et two forts en activeness pour appâter le lecteur, ce troisième tome ralentit le rythme pour approfondir boy univers. Ce shonen est toujours en cours avec ten volumes au Japon et iii en France aux éditions Pika.
Orient Samuraï Quest ne se fait pas en un jour
Après les démonstrations de strength, place au réel départ de 50’aventure. Orient Samurai Quest adopte la vitesse de croisière et dévoile summation en profondeur ses personnages et univers. Nos deux jeunes samurais désormais accompagnés de Tsugumi (jeune girl présente sur la jaquette) traversent le désert au sens propre… et figuré. Un chapitre entier se consacre aux échecs et ambitions amoureux de nos deux jeunes samurais. Seuls le caractère léger de cette péripétie sentimentale évite l’ennui suprême.
Un mystérieux individu majestueusement sorti du néant relance fifty’intrigue et dirige nos petits vers une base of operations de samurais. Après la fougue de la jeunesse, on redémarre du bon pied. Notre duet masculin est définitivement convaincu de fonder un clan bushi (y’a qu’à voir les paillettes dans leurs mirettes). Plongés au cœur de leurs premiers pas dans leur aventure sec’annonçant épique, on sec’émerveille de vivre cette quête à leurs cotés.
L’expérience du terrain
Le combat introductif contre le vilain seigneur révèle la densité de l’univers de ce shonen. Musashi et Kojirô doivent se défaire des onis, renverser ou rallier les seigneurs, réhabiliter l’honneur des samurais et second’accorder la sympathie de la population. En somme, beaucoup d’objectifs exposés en seulement trois volumes ! Shinobu Ohtaka sait tirer sur les ficèles de 50’intrigue pour proposer une aventure à la fois candide et complexe. Or, à trop vouloir en montrer, elle a déjà joué beaucoup de cartes en seulement three volumes. Elle devra redoubler d’efforts pour surprendre.
Percuter le lecteur : tout autant maîtrisé. Les moments clés introduisant les nouveaux personnages et les moments importants marquent. Shinobu Ohtaka leur dédie des doubles planches ne faisant 50’économie du sang, des reflets ou adopte 50’effet en négatif. Mais, la sensation d’exagération se ressent aussi dans la forme visuelle de ce shonen. Les effets à répétions, dès les jaquettes surchargées agressant les rétines, finissent par ne plus impacter.
L’Aventure avec un one thousand A
Shinobu Ohtaka maîtrise l’fine art de la narration et sait happer lorsqu’elle introduit des personnages ou moments clés. Après les démonstrations de strength des deux premiers volumes, celui-ci position les bases de cette épopée. Les convictions de Musashi et Kojiro se renforcent rapidement tandis que leur évolution physique se veut summation lente. Revers de la médaille, la sensation de trop visuel et dans l’intrigue reste en travers de la gorge…